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Mercredi 18 septembre 2013 -
Cérémonie de remise des insignes de Chevalier des Arts et des lettres, nomination de la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, et remise par le président du Conseil Constitutionnel Jean-Louis Debré.
La Vie - 27 juillet 2015
Article paru dans La Vie le 27 juillet 2015
René Guitton a pris depuis longtemps la défense des chrétiens d'Orient. Et ses engagements œuvrent sans cesse à lancer des passerelles entre l'Occident et l'Orient. Les héros de Memoires fauves en sont l'incarnation réussie. Michel Beaufort, Franco-Libanais descendant des Croisés, est major d'une grande maison de disques parisienne. Tandis que Fauves, Egyptien d'origine, rock-star internationale, a choisi la France ou il remplit le Grand Stade. Entre eux, Aurelie Montbron, grand reporter. Ils vivent un curieux ménage à trois.
Et l'on découvrira, au fil de voyages à Beyrouth, Jérusalem et Alexandrie, les secrets d'enfance qui les animent, jusqu'au drame final. Les masques tombent alors à travers le journal de Fauves - qui n'a pas choisi son nom d'artiste par hasard. II y dénonce les pratiques d'un odieux esclavage sexuel des petits garçons au Moyen-Orient. René Guitton a monté son roman comme un thriller aux chemins tortueux parfois. L'action se développe dans une actualité française et internationale brûlante, sur fond de « printemps arabe », terrorisme et extrémisme religieux. Son récit généreux éclaire, comme disait de Gaulle, « ce Moyen-Orient compliqué que l'Occident ne peut aborder avec des idées simples » YVES VIOLLIER
Pages des librairies
Mémoires Fauves
Lu Bc conseille par D. Bouillo Lib. M'Lire (Laval)
M. Facchin Lib. Le Grand Cercle (Eragny-sur-Oise)
PARIS, NOVEMBRE 2013. Fauves, chanteur de renommée planétaire et Aurélie Montbron, journaliste qui a sillonné tous les terrains de guerre, forment un couple aussi incroyable que magique. Ils font la connaissance de Michel Beaufort, franco-libanais et patron de la major du disque Philips. On s'aperçoit grâce au journal posthume de Fauves, mort peu après leur rencontre, que ce dernier se servait du charme de son amie pour séduire Michel, avec qui il avait décidé de travailler. En effet, un lien très fort va se tisser entre les deux hommes au nom de leur origine orientale, avec la belle Aurélie au centre. L'on découvre également l'histoire de Fauves, son Égypte, ses violences et ses interdits, qui l'a d'une certaine manière façonné. On lit ce texte construit en deux parties comme un thriller psychologique dans lequel René Guitton bouscule le concept du triangle amoureux, et où on retrouve les thèmes chers à l'auteur, à savoir la défense des chrétiens d'Orient, le terrorisme, le fanatisme religieux. Un roman passionnant.
Par DELPHINE Boul LLD Librairie M'Lire (Laval)
Mémoires Fauves - Livres Hebdo
Article publié dans Livres Hebdo n°1043 -vendredi 22 mais 2015-
Frères d’Orient
Parution 19 Août 2015
René Guitton bouscule sacrément le concept de « triangle amoureux »
C’est un livre ramifié, complexe, où passent quelques-uns des thèmes de prédilection de René Guitton, par exemple la défense des chrétiens d’Orient, bien avant que cela ne devienne tristement à la mode.
Nouvel Observateur - Oct 2013
Présentation du roman de René Guitton L'Entre-temps paru dans le Nouvel Observateur le 3 octobre 2013
L’émotion Guitton écrit pas Jean Contrucci
Psychologie- sept 2013
Présentation du roman de René Guitton L'Entre-temps paru dans le magazine Psychologie de septembre 2013
Valeurs actuelles - sept 2013
Présentation du roman de René Guitton L'Entre-temps paru jeudi 19 septembre dans le magazine Valeurs actuelles.
La Marne - sept 2013
Lecture . Les sorties en librairie du 5 septembre
Trois livres sortent aujourd'hui 5 septembre. Des ouvrages qui sortent... de l'ordinaire avec des récits où l'Homme est au centre de l'écriture.
Ouest France - Sept 2013
Ouest France L’Entre-temps
René Guitton réécrit son histoire au nom du père
Il est connu pour ses écrits sur les relations entre Orient et Occident, christianisme et islam… L’Entre-temps est un roman inspiré de sa propre histoire.
Propos recueillis par Stéphanie Vernay.